KHADRA Yasmina - "Le baiser et la morsure" - origine algérienne
Cet auteur d’origine algérienne est né le 10 janvier 1955.
A publié :
Sous le nom de Mohammed Moulessehoul
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Amen, 1984, à compte d'auteur, (nouvelles)
Houria, 1984, (nouvelles)
La Fille du pont, 1985, (nouvelles)
El Kahira - cellule de la mort, 1986, (roman)
De l'autre côté de la ville, 1988, (roman)
Le Privilège du phénix, 1989, (roman)
Sous son nom de plume
Le Dingue au bistouri 1990, La Foire des enfoirés 1993, Morituri 1997,
L'Automne des chimères 1998, Prix allemand du roman noir international
Double blanc 1998, Les Agneaux du Seigneur 1998, À quoi rêvent les loups 1999, L'Écrivain 2001, L'Imposture des mots 2002, Les Hirondelles de Kaboul, 2002, Cousine K 2003, La Part du mort 2004, La Rose de Blida 2005, L'Attentat 2005, Les Sirènes de Bagdad 2006, Ce que le jour doit à la nuit 2008, La Longue Nuit d'un repenti,2010, L'Olympe des infortunes 2010, Œuvres 2011, L'Équation africaine 2011, Les Chants cannibales 2012, Les anges meurent de nos blessures 2013 Qu'attendent les singes 2014, La Dernière Nuit du Raïs 2015, Dieu n'habite pas La Havane 2016, L’Outrage fait à Sarah Ikker 2019, Le Sel de tous les oublis 2020, Pour l'amour d'Elena 2021, Les Vertueux 2022, Cœur d'amande 2024 etc.....
Prix littéraires
Les nombreux prix obtenus pour l'ensemble de son œuvre, ont amené l'Académie française à lui décerner le Grand prix de littérature Henri-Gal, Prix de l'Institut de France 2011.
Résumé :
Ce livre est la conséquence d'entretiens entre l'auteur et Catherine Lalanne en 2018.
Il apporte un éclairage passionnant sur un homme en quête de vérité.
Il débute par les origines de sa famille et notamment par l'obligation voulue par son père de l'intégrer dans l'armée à l'âge de 9 ans.
Puis, il nous fait partager ce qu'il vit dans l'armée et la naissance de sa vocation d'écrivain.
Il y a aussi sa façon de percevoir les femmes sans oublier sa version personnelle de l'Islam, etc...
Pour mettre l’accent sur le dialogue de sourds qui oppose l’Occident et le monde arabe, il nous conte des histoires où règnent la bêtise humaine, la culture de la violence, et l’intolérance.
Que dire ?
Cet écrivain a vécu mille vies comme les personnages de ses romans. Il fut, et il est toujours autant critiqué tant pour son écriture que pour ses positions.
L’éclairage que Yasmina KHADRA apporte sur les hommes m’intéresse.
Son style parfois déroutant, sa poésie, l’utilisation des mots savants employés laissent des traces dans la mémoire des lecteurs qui aiment ses romans.
Son don de visionnaire m’a incité à rappeler aux internautes la qualité de son écriture dans : ” Les hirondelles de Kaboul » - « L’attentat » - « Les sirènes de Bagdad ».
Il n’a jamais été question pour moi et il ne sera jamais question d’en faire un débat politique. Ce n'est pas mon but et ce n'est pas mon métier.
Mon admiration concerne uniquement le talent de cet écrivain.
Compte tenu des remarques que j’ai reçues sur Yasmina KHADRA, je tenais à le préciser.
Cet avis n'engage que moi.
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