PERRIN Valérie - "Les oubliés du dimanche"
Cette romancière est née en 1967.
- C’est le premier roman de Valérie PERRIN.
- Il a été récompensé par une dizaine de prix notamment par :
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le prix national Lions de littérature 2016
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le prix Chronos 2016
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le prix intercommunal Lire Elire 2016
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le prix Poulet-Malassis 2016
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puis en 2018 avec une réédition en poche, le prix Choix des libraires Littérature.
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Pour la petite histoire, Valérie PERRIN est la femme de Claude Lelouch.
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Résumé :
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Justine a 21 ans.
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Depuis la mort de leurs parents respectifs, Justine et son cousin Jules vivent chez leurs grands-parents.
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Son cousin Jules veut devenir architecte.
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Justine exerce avec amour le métier d’aide-soignante dans une maison de retraite appelée « Les Hortensias ». Là, elle noue une relation privilégiée avec une des résidentes, Hélène qui lui livre progressivement des morceaux de sa vie, mais aussi avec le petit-fils de cette centenaire à qui elle promet de donner le carnet dans lequel elle consigne ce que lui raconte Hélène.
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Mais les révélations d’Hélène amènent Justine à se poser des questions sur les circonstances de la mort de ses propres parents et des parents de son cousin.
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Un drame que les grands-parents évitent d’évoquer.
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Volontairement, je ne dévoilerai pas la fin qui fait de ce livre un petit bijou.
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Personnellement, j’ai lu deux fois « Les oubliés du dimanche ».
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La première fois, aspirée par le déroulement des événements, j’ai avalé les pages.
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J’avais le souffle coupé par la course que je venais d’entamer dans cette histoire construite comme un scénario de film.
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Plus tard, je l’ai relu pour m’attarder sur les passages qui m’avaient intéressée, mais aussi pour mieux comprendre la construction du récit.
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Je voulais noter sur un carnet toutes les phrases qui m’avaient touché pour les partager avec mon entourage.
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Il y en avait tellement que j’ai préféré abandonner le projet.
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J’ai admiré l’imagination de l’auteure qui a écrit cette histoire comme un immense puzzle.
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Le quotidien des EPAD est décrit avec un certain humour, de la tendresse, de la cocasserie, de la sensibilité, de l’objectivité et cela avec poésie même quand celle-ci côtoie un langage cru.
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Je n’oublie pas non plus la partie du récit qui concerne la guerre et des conséquences qui modifièrent la vie d’Hélène.
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Ce livre addictif est véritable hymne à l’amour avec un grand A.
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L’amour pour les autres, pour un ou pour une amoureuse.
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Je comprends que cette auteure ait obtenu autant de prix !
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Cet avis n'engage que moi.
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